WIFI :
pourquoi ce serait mieux de l’éteindre...
L’Agence Européenne de l’Environnement,
le Parlement
Européen et de nombreux
médecins dans le monde soulignent
la toxicité de la technologie
Wi-fi. Le Conseil de l’Europe,
lui, préconise l’abandon
pur et simple du Wi-fi dans les
écoles et recommande la baisse
des seuils d’exposition des
antennes-relais depuis 2011.
Pourquoi ? Parce que les ondes
du Wi-fi, du portable, du sansfil
DECT et du Bluetooth
sont totalement différentes
des ondes radio et des télévision
hertziennes : ce sont des
micro-ondes pulsées en basses
fréquences. Le Wi-fi émet sur
une fréquence micro-onde de
2,45 Ghz [fréquence d’agitation
des molécules d’eau utilisée
dans les fours micro-ondes] :
une grande densité de fréquences
extrêmement basses
qui sont «pulsées par saccades
», ce qui en fait une technologie
incompatible avec la
santé ! Car c’est la nature du
signal qui est toxique et non
l’intensité du Wi-fi, qui même
à très faible puissance, désorganise
les processus physiologiques
et détruit des structures
biochimiques, entraînant la
perte d’étanchéité de la barrière
hémato-encéphalique,
une baisse de production de la
mélatonine et d’acétylcholine
[sommeil, mémoire, concentration...]
et des dommages génétiques
irréversibles.
Les symptômes sont l’insomnie,
les maux de tête, la
perte de concentration et de
mémoire, les troubles cardiaques
et de l’humeur. Le
syndrome l’électro-hypersensibilité
[ESH] pouvant occasionner
un mal être physique
sur 2 à 10% des individus,
le Conseil de l’Europe, le
Parlement Européen, l’OMS et
plusieurs Etats aux USA ont
décrit l’EHS comme un véritable
trouble physiologique
et non psychologique. L’OMS,
en 2011, a même classé ces
ondes en «cancérogène possible
» [classe 2B].
Mais cela se saurait...
Il existe aujourd’hui de nombreux
travaux scientifiques
qui démontrent que ce type
d’onde peut occasionner des
cancers [cerveau, thyroïde,
glande parotide...]. Malgré ces
réalités, on entend encore dire
que si c’était dangereux cela
se saurait et qu’il n’est pas
possible qu’une technologie
autant utilisée puisse continuer
d’exister en occasionnant
tous ces dommages... C’est
ignorer qu’en Angleterre, en
Allemagne et en Autriche, le
Wi-fi a été interdit dans les
écoles et que le gouvernement
allemand recommande depuis
2007 d’éviter le Wi-fi pour
raisons sanitaires.
Enfin, on entend également
que si le Wi-fi provoquait le
cancer, il y aurait déjà des millions
de cas de part sa fulgurante
diffusion depuis 2005. C’est
ignorer que de nombreux cas
existent déjà et que la «période
d’incubation» s’étend sur
une décennie ou deux entre
le début d’une exposition et le
développement d’un cancer...
Et puis, dans certains pays,
comme l’Inde, certaines personnes
aisées font systématiquement
démanteler les
antenne-relais et les systèmes
Wi-fi trop proches de leurs
habitations… Pourquoi le
ferait-elle ?
Une précaution utile
Ainsi, en attendant la reconnaissance
«officielle» de sa
toxicité, de nombreuses associations
citoyennes recommandent
de désactiver le
Wi-fi [activé par défaut sur les
modems Internet !] et d’utiliser
une connexion filaire. On comprend
que dans un contexte
de déni, personne n’est encouragé
à arrêter son Wi-fi, si pratique
et si moderne, surtout si
on ne «sent rien»…
L’association française «Robin
des toits» encourage à prendre
cette responsabilité sans
attendre, pour nous, nos proches,
nos enfants, nos voisins
et l’environnement. Affichette
d’explication résumant les
arguments scientifiques contre
le Wi-fi à télécharger gratuitement
sur www.robindestoits.
org/attachment/339000 [à distribuer
sans réserve par mail
ou dans les boîtes aux lettres
de vos voisins…]. Voulons-nous
un monde où il fait bon vivre ?
Allez, on passe à l’action !